Le
changement, veut dire, transformation d’un état mauvais, à un autre meilleur.
Nous tchadiens, cherchons le changement, sans changer des attitudes. Vous
croyez que si on insulte nos frères, qu’on a une haine contre eux ? Les
imbéciles comprendront mes propos sur cet angle ; ceux qui, Dieu l’a
permis de lire avec le cœur, seront même très content de me lire. L’objectif
pour nous ce n’est pas de faire plaisirs à des individus ; pour changer,
nous dénoncerons tout ce qui va à l’encontre de nos valeurs culturelles.
Beaucoup des cadres musulmans croient, que le culte en Islam ce prier, jeûner
aller à la Mecque ; regardez comment ils sont aveugles ? Ces
individus volent le bien public et s’en vont à la Mecque !
Je
m’adresse aux musulmans cadres dans l’administration publique sous domination,
du Dajjal, et sans oublier les imbéciles du Bahr-El-Gazal. La partialité n’est
jamais l’attitude d’un cadre musulman. Ceux qui luttent pour le pouvoir et l’argent
ont peur de s’exprimer librement. Comme nous, rêvons d’un Tchad meilleur et
honorable ; nous ne baisserons jamais nos regards pour un individus, qu’on
sûr, qu’il est dans l’erreur. Ne croyez pas que ceux qui sont en exil sont
meilleurs, sans quoi, le 02 février 2008, nous ne rebrousserons pas le chemin
vers le Darfour ; cela est une évidence ! « L’échec ne tue
pas, sauf le désespoir anéantis » Nous aussi, nous avons dans nos
rangs, des fils des collaborateurs des colons français.
Le
Tchad avec ses multiples complications, nécessite un personnel qui a la Foi
envers Dieu ; et respectueux de ses valeurs ancestrales. Les diplômes, l’expérience,
l’intelligence, tout cela véhicule la théorie du Dajjal. N’écoutez pas cher frères,
si on vous dit que les Sudistes sont mauvais ! Ces des menteurs, s’ils sont
justes et respectant leurs valeurs ; les Sudistes ne seront jamais, sans nul doute
injustices. Lavez vos linges, avant de rêver de diriger ce pays. Les partisans
de Dajjal ; qui ne réfléchissent qu’avec un seul œil ; n’apporteront,
aucun changement pour ce pays.
Je
prendrai toujours l’exemple de l’aliénation culturelle et intellectuelle, des
cadres du Barh-El-Gazal, cet exemple est valable pour tous, ceux qui
encouragent ce système Dajjal, dirigé par un despote borgne. Avoir deux yeux
derrières des lunettes sombres ; ça ne veut rien dire ! Vous n’avez
pas écouté les leçons de Seidina Abouchicha, le sage du Bahr-el Gazal, tout
comme le sage du Bandiagara, de Amadou Hampâté Bâ. Le sage du Barh-El-Gazal
avait beaucoup, conseillé nos parents à l’époque tous éleveurs. Serge Besnier,
le fondateur de la ville de Moussoro, avait posé la question, qui est ce
monsieur Maloum Abouchicha ? Qui s’oppose à la colonisation. Si je m’appui
sur la religion, je ne fais pas des prêches ; je puisse mes idées dans ma
tradition, et nous nordiste du Tchad, nos valeurs que les ancêtres nous ont
transmis, ce l’Islam. Les théories capitalistes ne peuvent aucune manière pénétrer
un esprit averti, basant sur ces propres valeurs.
Ce
dommage, si un Tchadien et musulman, censure mes textes, ce regrettable !
Le départ du Dajjal deby itno, n’est pas la solution, le Tchad a quitté les
rails depuis 1900. Retournons-nous, vers nos valeurs, la solution est certes dans nos valeurs culturelles.
Mahamat
HASSANE BOULMAYE
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire