jeudi 24 septembre 2015

Islam, meilleur système politique, selon Jean-Jacques Rousseau

Il dirent : Gloire à Toi ! Nous n’avons de savoir que ce que Tu nous a appris. Certes c’est Toi l’Omniscient, le Sage » S.2 V.32


« Mahomet eut des vues très saines, il lia bien son système politique, et tant que la forme de son gouvernement subsista sous les califes ses successeurs, ce gouvernement fut exactement un, et bon en cela. Mais les arabes devenus florissants, lettrés, polis, mous et lâches, furent subjugués par des barbares ;… » Jean-Jacques Rousseau, Du contrat social, Garnier-Flammarion, page 173, Paris, 1966. 
Suite à nos propos, sur l’attitude des musulmans tchadiens et tchadiennes, en complicités avec la famille Itno, qui siphonnent sans gêne les ressources de l’Etat, nous réitérons nos propos : sont tous dans l’illégalité morale et institutionnelle. Et, pourtant, les pauvres sont complètement inconscients, malgré les multiples signes de Dieu. Et, ont corrompu cette sublime religion ; d’ailleurs la corruption de l’Islam commença après l’assassinat du calife et législateur,  Ali Ibn Abitalib, en 661. Jean-Jacques Rousseau a écrit son essai au XVIII, siècle des lumières, plusieurs années, après le dérapage de l’Etat Islamique, la foi des croyants reste le même, mais le cadre institutionnel et politique  traverse des turbulences, dû au non-respect de la profession de foi de l’Islam, par les croyants.
Du contrat social, dans cet essai, Rousseau a imaginé les mécanismes institutionnels, d’un Etat idéal.  Son essai est aujourd’hui, la bible du système, de démocratie pluraliste. En conclusion de cet essai, Rousseau fait l’éloge du système politique musulman. Il a certes rêvé la démocratie, à son époque au XVIII siècle ; et a engendré une ingénieuse idée institutionnelle, juridique et politique, la preuve est que, son essai reste ici et maintenant toujours d’actualité. En revanche, il trouva très saine et meilleur, le système politique musulman. Si les musulmans n’ont pas laissé choir leur foi en Dieu, Jean-Jacques Rousseau, serait convertie !
 A notre grande surprise, des individus cuistres et hypocrites essayent de hausser le système inefficace ; la démocratie occidentale, à la place de notre sublime système politique. Il est moins honnête de croire à Rousseau et de dénigrer l’Islam ; cette religion reste toujours la même, les principes et les règles ne changeront jamais. Les croyants corrompent cette belle et splendide religion ; ce qui amène les occidentaux à se méfier, de notre religion. La faute est à qui ? Nous les musulmans, et cela est une évidence, repentons-nous !
Notre  aimable guide, notre prophète, Mohamad, SWA ; prêcha la profession de foi de l’Islam, le principe fondamental du système politique, pendant une décennie à la Mecque ;  immigra à Médine en 622, puis fonda l’Etat Islamique. Et régna à la tête de cet Etat, comme guide, chef spirituel et législateur pendant dix ans. En 632 son successeur Abou Bakr Assidiq régna pendant deux ans ; ensuite arrive le calife Omar Ibni Khattâb et régna pendant une décennie ; après la disparition de ce calife, juste et moderne, ce califes a géré son pouvoir comme un laïque, il dirigea un empire  multiconfessionnelles de 634 à 644, la laïcité dans ce contexte:  les textes islamiques exigent l'impartialité et l'objectivité, du législateur croyant. Voilà, comment on explique la laïcité ! Après le calife Omar, arrive à la tête de l’Etat, le calife Othmân Ibn Affân, de 644 à 656 et fut assassiné ; ensuite, le dernier calife de l’Etat, Ali Ibn Aboutalib, prend la relève et fut aussi assassiné après cinq ans de règne. Et depuis lors, l’Etat islamique s’est effondré. Les individus qui se disent musulmans et au contraire ne sont intéressés que par le pouvoir et les biens de ce bas monde, existaient depuis toujours. Ces égarés ont corrompu le système politique ; les principes resteront inchangeables jusqu’à la fin du temps ; et ceci est une évidence ! Aujourd’hui, mes pauvres compatriotes qui rodent comme des vautours autours des ressources de l’Etat, et essayent de trouver des justificatifs, pour donner raison au despote Idriss Deby ; considérons les, comme des lâches et mous. L’individu qui porte ces qualificatifs est sans nul doute un hypocrite, surtout s’il se dit, musulman.
Dans cet extrait, Rousseau insiste sur la solidité de ces institutions « Mahométanes » s’il dit : «  ce gouvernement fut exactement un, et bon en cela. ». Le philosophe est impressionné par les visions très saines de ce système, la vision du législateur est d'ordre d’abord cultuelle, politique, économique, sociale, culturelle, militaire, diplomatique….Les principaux califes, ci-dessus cités, sont ses successeurs, et le dernier est son gendre, Ali Ibn Aboutalib. Depuis son assassinat, le système dérapa.  Rousseau énumère quelque qualificatif pour désigner la faiblesse des musulmans : « les arabes (ici l’auteur ne désigne pas une ethnie, mais les musulmans), florissants, lettrés, polis, mous et lâches ». Gloire à Dieu, les mêmes qualités des cadres musulmans du Tchad qui ont troqué leurs honneurs contre l’argent et les carrières empoissonnées d’un despote apostât ! Les barbares dont fait allusion le philosophe Rousseau, est le monde occidental. Car, il appréciait mal, les clergés du système catholique occidental.
En sommes, l’Islam est compatible même avec le système de démocratie occidental ; car le musulman est lia à Dieu et à l’au-delà, donc il sera épargné des tentations humaines ; que rêvent les individus atteints de la cécité intellectuelle et morale : voiture, villa, argent… et ceci affectera sérieusement la société, l’Etat et la nation tchadienne. Le législateur musulman rendra sans nul doute compte à Dieu, même s’il a corrompu la constitution laïque. Quiconque collabore avec ces individus lâches, mous et hypocrites du MPS, rendra  aussi compte ; car la justice divine est incontestablement très équitable ; alors Idriss Deby Itno, devant  Dieu, il ne sera pas le seul coupable.
Que Dieu guide tous les musulmans et musulmanes du monde !

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